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Mercury est à la recherche de révolutionnaires électriques néo-zélandais - des héros électriques, défenseurs du transport électrique et inspirant d'autres Kiwis à rejoindre la révolution électrique.
En matière de vélo électrique et de protection de la planète, on peut dire que Dylan Hughes est pleinement investi. Il est directeur des ventes et du marketing chez UBCO, une entreprise néo-zélandaise qui a repéré en 2014 une lacune sur le marché des véhicules utilitaires électriques légers à deux roues motrices. Le prototype brut a fait sensation lors du plus grand salon agricole de l'hémisphère sud, le National Agricultural Fieldays, et il est ensuite devenu le vélo 2x2 phare d'UBCO.
Aujourd'hui, vous verrez Hughes filer silencieusement sur le dernier modèle de l'entreprise. Non pas parce qu'il est un employé d'UBCO, mais parce qu'il est un grand fan. « Pas de files d'attente dans les stations-service, pas d'émissions de CO2, pas de bagarre pour une place de parking, pas de pollution sonore, pas de fuite d'huile sur le sol du garage, et personne ne peut dire : je n'ai pas l'air cool tout en essayant de sauver la planète. »
En 2005, lorsque Hughes a décidé de s'installer au Mont pour profiter d'un style de vie décontracté, le choix de transport était évident, et il s'est avéré que c'était aussi son travail. Comme il l'explique, « Comme presque tout ce dont vous avez besoin se trouve dans un rayon de 5 kilomètres, il s'agissait de vélos de plage et de skateboards comme moyens de transport, mais maintenant que le Mont est devenu le secret le moins bien gardé de la Nouvelle-Zélande en matière de vie et de vacances, il vous faut quelque chose de petit et économique pour vous déplacer et un 2x2 électrique était le choix parfait. »
Hughes a étudié la planification environnementale à l'université, et la réduction de l'impact sur la planète lui tient donc à cœur. Pour lui, un véhicule électrique est un choix éthique autant que financier. « En choisissant l'électrique comme principal moyen de transport plutôt que les carburants fossiles, j'ai le sentiment de faire partie de la solution plutôt que du problème. Bien sûr, c'est aussi agréable d'avoir plus d'argent dans ma poche arrière pour inviter ma femme à dîner plus souvent. »
C'est un euphémisme de dire que le vélo électrique de Hughes est devenu son outil de prédilection, qu'il s'agisse de se rendre au siège de l'UBCO, d'aller à la salle de sport, au supermarché, à la quincaillerie ou même d'aller à la plage. « J'ai des sacoches pour les courses, un porte-planche de surf quand je veux surfer et je préfère utiliser mon UBCO quand je veux me promener sur Mauao car le stationnement n'est pas un problème pour moi. »
Au-delà de la commodité, du plaisir et de l'absence d'émissions de carbone, Hughes souligne également les faibles coûts d'entretien. « Les coûts sont réduits par rapport à un scooter classique, car il n'y a pas d'huile, de bougies d'allumage et de toutes les autres pièces salissantes… et cela signifie moins de temps d'arrêt dans l'atelier. L'UBCO 2x2 est en fait un iPad sur deux roues. »
C'est une description assez précise de la part de ce directeur des ventes et du marketing, mais qu'en est-il des détails plus précis, comme la charge ? Quelles sont les réalités dans ce domaine ? « J'ai un chargeur à la maison et un autre au travail (si jamais j'en ai besoin), mais je charge en général une fois par semaine à la maison. Je n'attends pas que la batterie soit complètement déchargée, mais je la recharge au besoin. On m'a dit que pour prolonger la durée de vie de la batterie, les batteries Li-Ion fonctionnent mieux entre 20 et 80 % de leur capacité. »
Depuis qu'il a rejoint la révolution électrique, Hughes a également calculé qu'au cours de la première année seulement, il a économisé plus de 450 dollars et réduit ses émissions d'environ 80 %. Il a beaucoup de bonnes choses à dire sur les avantages de son vélo, mais lorsque nous lui avons demandé un dernier message aux Néo-Zélandais, il nous a laissé ceci : « Essayez-le, l'engouement pour le transport électrique est réel. Il existe de nombreuses marques sur le marché, et je vous assure qu'il y en a une qui répondra à vos besoins et à vos envies. » Mercury est du même avis. Il n'y a jamais eu de meilleur moment pour enfourcher vos vélos, dire adieu au pétrole et rejoindre la révolution électrique.